Invité Quoi!!! Darkness Falls est hanté parInvité
| Sujet: Shay alias Shea McSweeney Lun 1 Nov - 6:12 | |
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« ... Shea McSweeney [Ft... Model: Laura (nom de famille indisponnible).]
Photographe: Marin Stephan (Model: Laura) |
Il y avait la neige. Blanc. C’était sa couleur préférée. Depuis toujours. Du plus loin qu’elle s’en souvienne. De l’époque de l’Irlande, son Irlande. Sans doute que naître à l’époque froid de l’année a pu influencer sur ce côté d’elle, de cette préférence. Elle n’est pas restée là très longtemps. Deux ans pour être précis avant de rejoindre le pays plus chaud des USA. Éducation dans bien absorbé, la jeune fille se dévoila être d’une courtoisie, d’une politesse de la noblesse. Elle étudia la littérature, du moins, pas forcément très avancée étant donné de son jeune âge. Mais s’y passionnait… Nelligan, Hugo, Châteaubriand, Vigny, Musset, Alphonse de Lamartine… La poésie. La chanson de l’âme. Le refrain du cœur. Elle s’y passionna immédiatement. Il n’y avait rien de plus beau. Les arts ne l’intéressaient toutefois pas plus que ça. C’était la seule forme sur laquelle elle accrocha. Elle semblait davantage portée vers les vêtements de la garde-robe de sa mère que par n’importe quoi d’autre.
Elle fut très jeune prise comme mannequin pour enfant. Le début de sa carrière. Ce qui ne l’aidait absolument pas dans l’obsession qu’elle développait de jour en jour pour les tissus, les vêtements, les fringues. Il ne se contentait plus. Elle en voulait encore.
Elle grandit ainsi, dans l’éducation du respect. Et devint ravissante. Ravissante à en donner des torticolis sur son passage. C’est pourquoi à l’âge de quatorze ans et des poussières qu’elle fut recrutée par une agence. Elle partie dès lors, la même année, pour Londres où elle figurerait dans la une de plusieurs numéro, se faisant doucement connaître. Burberry. Où la mode coûte plus cher que vos assurances vie… Où s’afficher signifie gagner l’intérêt.
Elle le rencontra à l’âge de quinze ans, à l’hôpital. Son cœur l’avait étouffé, quelques heures plus tôt. Après testes, on aura découvert une faiblesse sérieuse. La poupée des neiges souffrait. Ils ne pouvaient toutefois rien faire. Sa propre vie était menacée, mais on lui disait de ne pas s’en faire. Dans l’immédiat, elle ne réagit pas. Elle due rester quelques jours sous observation, à son plus grand malheur. Son agent lui envoya des fleurs, sans que cela ne l’étonne.
Journal, 13 mars 2001. Tu es apparu ce jour-là. Dans ce couloir froid. Près de cette fenêtre. Et tu m’as souris tout simplement. Tu m’as demandé pourquoi j’étais là. Je t’ai répondu que j’attendais ce qui me permettrait de vivre éternellement. Je suis triste en écrivant ces mots. Ça n’arrivera jamais. Il y a 30% des cas qui décèdent. Un chiffre qui est énorme. Et… Un cœur… Ça ne se trouve pas à n’importe quel coin de rue. Ça ne s’achète pas. Et je suis prête à céder ma place à qui le demandera… Je suis désolée… Je suis désolée. On cria au scandale. On dit qu’elle se faisait abuser. Sa famille lui indiqua que ce n’était pas la voie. Qu’elle ne devait plus se laisser manipuler de la sorte. Elle en soufra devant leur acharnement. Elle l’aimait. Où était le mal ? Parce qu’elle n’avait que dix-sept ans. Parce qu’il en avait vingt-cinq. Ils refusaient de comprendre et la considérait trop jeune pour comprendre ses propres sentiments. Elle laissa son instinct dicter sa conduite. Jensen ne le savait pas, mais lorsqu’elle se perdait dans ses yeux, elle oubliait un peu les jours qui se raréfiaient, même si elle était bien, encore, pour le moment.
Elle quitta la belle ville de Londres pour retourner là où elle a vécue la plus grande partie de sa vie, en compagnie de celui à qui elle avait décidé de donner la main, de suivre en marchant dans ses pas, sans regarder derrière elle, pour poursuivre sa carrière et faire profiter la sienne. .<
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● ● « Age : 18 ans ● ● « Date & Lieu de naissance : 1987, 20 février / Irlande; Dublin. ● ● « Predefini [ ] Inventé [X] ● ● « Groupe & Boulot dans le groupe: Civil / Mannequin, Model, Poète à ses heures... (Elle est connue.)
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● ● « Physique & Style : Glamour ! Comment mieux décrire la star des magasine à la dernière tendance ! Paillette, froufrous, dentelle, boucle, bijoux, sacs ! Tout ce qu’il y a de plus cher, elle les a tous porté. Certains la décriront comme divine, angélique. Un visage de porcelaine, à la peau laiteuse et douce, tout à fait bien entretenue et traitée, à l’image du corps. Elle ne peut pas ne pas en prendre soin : c’est son… métier, après tout. Être le model de photographe… On exige toutefois souvent d’elle qu’elle cesse de faire sa gourmande et qu’elle ne se mette au régime. De ce fait, elle joue énormément avec son poids, ce qui n’est pas forcément une bonne chose en soit.
Shay à travers ce visage doux, à cette paire d’yeux gris, tirant légèrement sur le vert-marron, qui dévisage gentiment. Il n’y a aucune méchanceté à travers elle. Et son sourire franc en dit tout aussi long sur ce côté d’elle. Tout en finesse, ses mains sont douces au touché. Délicate, elle donne l’impression que simple coup de vent pourrait la faire basculer. Une longue chevelure d’un blond platine accompagne agréablement, pour compléter le physique d’ensemble.
La beauté Irlandaise est toutefois souffrante du cœur. Et oui, ce dernier a, semble-t-il, décider de part lui-même remédier à trop de perfection. Il est fragile. Terriblement fragile… et malade. Elle est effectivement en liste d’attente pour une greffe qui, selon elle, n’arrivera probablement jamais. Optimiste, elle n’y laisse rien paraître et passe ses journées comme si de rien n’était. Ça la fatigue toutefois énormément et il est très rare de la voir sortir en boite, ne veillant jamais la nuit. ● ● « 5 Qualités & 5 Défauts :
Douceur… La pureté à sa plus simple expression, réduite à un regard réconfortant, alors que la blanche prend sur elle, en silence. Un sourire qui reflète tout. Un mensonge dissimulé. Il n’est pas très gros, mais il est là.
Sourire… qui réconforte la plus noire des âmes, qui apaise toutes blessures juste parce qu’il existe à travers elle, juste parce qu’il est là, qui dit : «Je suis là.»
Courtoisie… parce que les points précédents ne peuvent exister sans ce côté à vouloir aider le monde entier, à vouloir tendre la main vers les gens, à les faire passer avec elle-même, laissant toute priorité aux autres. Parce que les gens sont plus importants que sa propre santé.
L’humour à toujours été la meilleure façon de s’en sortir. Rire et vivre le cœur léger, voilà tout ce dont elle a besoin.
Courage d’un seul être face à l’horreur, face à la haine. Parce qu’elle n’en a pas. Qu’elle aime inconditionnellement. Face à Dame la Mort qui attend dans l’ombre, elle lui tourne dos et avance vers la lumière.
And the bad things about her...
Naïveté… parce qu’il n’y a rien de plus simple qu’une enfant naïve, la tendance est parfois toujours présente, même à l’âge de jeune adulte. Ah ! L’un des plus grands défauts de l’humanité…
Mensonge… parce qu’à travers un regard angélique, il n’y a pas la vérité. Se cacher derrière un sourire et mentir sur son humeur. Dissimuler la douleur et les larmes qui couleraient pourtant à flot.
Ah ! Maladresse, tu finiras par nous tuer… Parce qu’elle n’est pas très agile des ses pieds, et encore moins de ses mains, comme si elle avait possédé dix pouces à la place des doigts.
La folie de la mode ! Qui a dit qu’aimer les tissus était une bonne chose ? Certainement pas elle… La souffrance du crédit, de l’argent que l’on voit couler entre ses doigts comme eau à travers le filet.
Manipulable… Si la naïveté est une chose, celle-ci en est une autre… Parce que l’ange de cristal laisse le bénéfice du doute, parce qu’elle a une confiance aveugle en les gens, il est très facile de profiter d’elle…
● ● « Traits de Caractère : La douceur incarnée sous ces traits d’ange figé par le temps. Shea est effectivement un de ces êtres que rien n’atteint. Ses plus proches amis la surnomment gentiment l’«Immortelle». Son sourire qui guérit le moindre mal est là pour réconforter. Elle est souvent considéré comme bonne âme, par son côté un peu mère poule envers ceux qu’elle aime. Elle prend soin des gens comme de la prunelle de ses yeux, comme si tout être était le plus important au monde, lui donnant tant de considération et d’importance qu’il semble ne plus être que le seul à exister. Elle se dévoue corps et âme aux autres, se laissant même un peu trop de côté. Elle aime la vie, tout simplement. Elle la trouve trop précieuse pour la gaspiller. Même si, à travers sa plus grande peur, elle se ment à elle-même : la mort. Mourir la tétanise, lui crée jusqu’à la paranoïa, par moment. Elle hait être seule. Se sont pour elle des moments d’angoisse. Elle a besoin de sentir la chaleur humaine, de côtoyer des gens, le plus possible. Sans quoi, elle sombre rapidement dans la déprime. Chose qu’elle évite à tout prix. Retirez-lui le droit de vivre parmi les gens, elle se laissera dépérir.
Tout sourire aux lèvres, boule d’énergie lumineuse, elle rayonne tout simplement de ce calme immaculé, par un regard réconfortant qu’elle lance à tout va, comme si, en sa présence, rien ne pouvait être plus joyeux, comme si elle cherchait à tout prix à supprimer la tristesse du monde. Bavarde, elle se montre avoir la faculté et le talent oratoire. Prononciation claire, elle ne mâche pas ses mots, qu’elle choisie avec soin. Aucune injure ne sort de sa bouche. Aucune vulgarité non plus. Très obstinée, elle a tendance à débattre sur un point jusqu’à voir l’autre céder. Buté, comme l’on dit aussi. Bornée dans ses idéalismes de bonté. Que quelqu’un ose lui dire que ce qu’elle pense est futile ! Sa sensibilité en prendrait un coup et cela saurait sans doute la détruire. Et oui ! Qui dit douceur dit aussi, chez elle, sensibilité un peu exagérée, sans doute. Elle est touchée par toutes sortes d’émotions au quotidien, en regardant le monde autour d’elle, s’en faisait souffrance continuellement, même si elle n’y peut rien.
Ah ! Impossible de passer sur ce point ! Humanitaire. Vous l’aurez sans doute déjà devinez, d’ailleurs. Si elle ne participe pas à des campagnes humanitaires, c’est qu’elle est malade ou dépressive. Effectivement, on voit son nom apparaitre dans la moindre petite pétition. Et très écologiste par-dessus le marché, c’est la santé de la terre qui passe avant la sienne, au plus grand découragement des siens.
Terriblement maladroite, Shea à plutôt tendance à se mettre les pieds dans les plats sans même s’en rendre compte. Bavarde de nature, il lui arrive d’exprimer quelque chose qui vexe, sans qu’elle ne pense à faire de tord. Elle se fait donc, de ce fait, mauvaise réputation elle-même, et de façon plutôt involontaire, auprès des êtres les plus susceptibles.
Naïve. L'Irlandaise est de ce qui se fait de plus naïf. À la plus grande désapprobation de ses proches, cette fois. Effectivement, on pourrait lui faire croire n’importe quoi. Ce qui lui crée régulièrement quelques problèmes. On pourrait ainsi facilement profiter d’elle. Et comme elle est relativement connue, ou du moins son visage l’est-il, apparaissant sur marque de publicité et magasine à ne plus en finir, cela contribue aussi à lui massacrer la réputation. On pourrait se faire passer pour un non voyant qu’elle voudrait donner son argent, ou peu importe la situation, elle est manipulable à souhait.
Ne cherchez toutefois pas la pierre sous la mousse ! Elle est l’eau qui dors et, même s’il est très difficile de la faire sortir de ses gonds, lorsqu’elle sort son mauvais côté, ce n’est pas de la rigolade. Elle est petite, mais en a dedans ! Elle n’insulte toutefois pas, ni ne dénigre, mais ses reproche sont un fouet, une lame de rasoir qu’elle ne se gênera surtout pas d’utiliser. Et son talent pour la parole aggrave généralement ses très rares crises de colère. Il en faut toutefois beaucoup pour en arriver là, n’était pas une personne violente ni agressive de nature, il se montre généralement très diplomate et posée en toute situation.
Parlons-en de ses défauts, d’ailleurs… Le pire est sans doute la maladie d’acheter tout ce qui a le malheur de tomber entre ses mains. On le lui reproche souvent, mais c’est plus fort qu’elle, un besoin incontrôlable qu’elle ressent de dépenser en objets tous plus inutiles les uns des autres : vêtements, bijoux, accessoires en tout genre, collection de chaussure, esthétique, sacs, livres, décoration, peluches… Tout ! Absolument tout ! Accessoire de salle de bain, de salon, ustensile, crayons, tout ! Elle n’arrive tout simplement pas à s’en empêcher, s’en est devenu maladif chez elle. Qu’on lui demande pourquoi, elle répondra qu’elle le doit. C’est comme pour elle une façon toute simple d’évacuer son refoulement.
● ● « Signes particuliers : Maladie du coeur (ce n'est pas visible) ● ● « Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle ● ● « Statut Marital : En couple ● ● « Citation ou Proverbe : «Sourie à la vie et la vie te sourira.»
● ● « Votre Prénom [ ou Pseudo] : Mel' ● ● « Age : 20 ans ● ● « Comment avez vous connu le forum ? : Top site ● ● « Qu'en pensez vous ? : ● ● « Votre présence ? : Autant que possible se fasse. ● ● « Votre niveau de RP ? : Moyen ? | ● ● « Exemple de Rp :
- Spoiler:
[HJ: Il se peut très bien que ce rp paraisse bizarre, avec la fiche du joueur Jensen, mais c'est normal, deux rpgiste qui se suivent Pourquoi pas, qu’elle s’était dit. Pourquoi pas ces rues sombres et silencieuse? C’était en se posant ces questions qu’elle s’était retrouvé dans cette situation. Il y avait eut ce crétin. Celui qui devait normalement sortir avec sa jeune sœur. Celui qui aurait dû être l’élu de son cœur. Il était là, à en tripoter une autre. Une qui semblait plutôt apprécier, d’ailleurs. Caleb avait criée. Le faux couple c’était retourné vers elle, et lui l’avait reconnu. Il s’était avancé vers elle en la menaçant gravement de ses poings. Queeny, elle, lui avait craché littéralement dessus et lui avait gueulé que sa sœur connaitrait tout. Il s’était fâché. Il l’avait giflé. La claque résonna dans le silence dans la ruelle et une trace rosée apparu sur la joue droite de la rousse et la lui retourna avant de tourner les talons. Elle n’était pas folle, malgré les apparences, et ne tenait pas à s’en prendre davantage. Elle fut contrainte à une course poursuite quelques minutes contre le moche garnement. Du moins laissa-t-il tomber lorsqu’elle sortit de la noirceur pour atterrir sur une des rues les plus bondée qui soient. Ça se termina ainsi. Point final. Elle n’insista pas et se promis d’en parler à sa cadette, une fois rentrer… Enfin… Lorsque Dodo acceptera de lui reparler de nouveau, quoi.
Elle s’arrêta en plein chemin, dérangeant la population qui déambulait par la même occasion, récoltant une ou deux injure au passage. Une inspiration sèche, elle repris rapidement dans une autre direction, traversant la rue entre deux voiture, sous un coup de klaxon agacée. À croire qu’elle ne remarqua rien, elle continua d’avancer en ignorant les avertissements sonores. Elle s retrouva bien rapidement dans un mini parc, assez petit qu’elle pouvait le traverser en quelques dizaines d’enjambées, maximum, où elle se laissa finalement tomber sur un banc de bois, dans un soupire fatiguée. Et elle devait avoir l’air complètement épuisée à la vue des regards plus que curieux que lui lançaient certains piétons.
Elle tiqua et s’obligea à se lever et quitter les lieux. Si elle pouvait s’enfermer quelque part, elle le ferait, mais pas maintenant. Ho non, il y avait toujours mieux à faire que de s’apitoyer sur soi-même. Et puis, ça n’était absolument pas son genre de se morfondre dans son coin à broyer du noir, n’est-ce pas? Absolument pas.
La rouquine se passa une main dans les cheveux pour tant bien que mal se donner un air un peu plus honorable, lissa un peu son t-shirt long jusqu’aux cuisses et se releva enfin pour se diriger vers un des endroits qu’elle connaissait le mieux. Elle ne savait pas très bien où elle se dirigeait de la sorte, exactement, mais son regard s’illumina étrangement lorsqu’elle le posa sur le nom. Merveilleux… Si elle n’aimait pas spécialement boire, ça ne l’arrêtait pas plus que ça pour sortir en boite de nuit. Et celle-là, plus particulièrement, qu’elle considérait généralement beaucoup trop snob pour sa petite personne. Tant pis, elle ferait avec.
Elle n’arriva pas à expliquer la raison pour laquelle on la laissa passé, sans lui demander ses cartes. Peut-être parce que le portier était plus concentré sur les grandes blondes immédiatement derrière elle qu’a se préoccupé d’elle. Et bien tant mieux! Elle ne s’en plaindrait certainement pas et se glissa volontiers dans la foule. Foule dense qu’elle n’appréciait pas nécessairement, mais ne s’opposa pas à elle. Elle se retrouva donc bien rapidement au centre, ou plutôt dans ce coin là, à faire une furieuse danse qu’elle ne s’expliquait pas elle-même, en suivant simplement les corps en sueurs qui l’entourait, à travers la coucher brumeuse de leur esprit. Ou était-ce la fumigène, elle ne savait trop. Elle continua de la sorte à s’en désillusionné complètement, à s’en étourdir, à tourner pour s’en rendre malade. Dire qu’il n’y avait pas une goute d’alcool dans son sang… Et sur le point de se vider l’estomac sur les pieds d’elle ne savait qui exactement, elle coupa court sa folie de minuit pour chercher les toilettes à tâtons, à travers les flashs lumineux qui la rendait complètement aveugle. Et avant de complètement tomber, faute de stabilité dans sa démarche plus que pénible, elle s’agrippa d’instinct à la première chose qui lui tomba sous la main. Première chose qui se trouvait en fait à être un bras. Un bras qui appartenait à ce qu’elle ne connaissait pas, évidemment, et que ne souhaitait pas immédiatement connaitre non plus, au risque qu’il ou elle ne veuille plus rien savoir d’elle. Bref, le dilemme qui dansait dangereusement devant ses yeux, lorsqu’elle les leva pour les poser sur le… sur ce… enfin… ce gars là, bien plus qu’elle, en fait.
Elle voulu bien s’excuser mais le son de la techno était si forte que la musique en enterra complètement sa voix. Elle fut donc contrainte de ne faire qu’une moue du visage désolée et un petit haussement d’épaule.
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