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Tania Eagleman








> Nom : Tania > Prénom : Eagleman > Date & Lieu de Naissance [age] : Novembre 1979 (26 ans) Chicago > Nationalité: Américaine > Groupe : Tricell > Boulot dans le groupe...: Infiltré chez les flics, garde du corps, destruction de preuve, exécution, nettoyage... etc...

Stana Katic




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> Plutot Lard ou Plutot Lardon ? [description morale] : Charmeuse - délirante - douée - experte - dévouée - folle - meurtrière - dangereuse - actrice - sensuelle.

> Plutot....Lady Gaga ou Sharon Stone ? [description physique] : C'est une belle jeune femme qui ne se laisse pas faire. Elle joue de ses charmes comme on joue au monopoly, sauf que quand on tombe entre ses griffes on ne va pas souvent en prison. Non non, on vient plutôt encombrer les cimetières qui, vous le savez tous, semblent être surpeuplé dans cette ville.
Sinon pour ses fringues... elle est plutôt pas mal dans son petit uniforme de flic !
ps : Elle a une croix étrange tatouée sur l'épaule et un autre sur son poignet, symbole du tricell qu'elle cache par un bracelet.

> C'est un beau romaaaaaaaaaaaan c'est une belle histoire....

5 Mai 1984 // 23h03 San Francisco (adresse inconnue)


Je n'ai pas réussi à dormir sachant que ma décision était prise et maintenant je doute alors que jusqu'à présent j'étais convaincu de ce que je devais faire.
Dans un état second, je descend jusqu'à la cuisine, histoire de trouver l'arme qui mettra fin à mes tourments. Je perçois mon bonheur au fond du tiroire à couvers, un long couteau dont l'utilisation ne m'est pas inconnu.
La plus part du temps il trône fièrement planté dans la carcasse d'un poulet ou autre viande au goût exquis.
Je remonte vers les chambres, empruntant l'escalier de bois. A chacun de mes pas, les marches grincent... peut-être tentent-elles d'avertir mes parents ?
Je lache un "traître" inodible avant de sourire bêtement, même cette maison me hait.

Me voila maintenant au dessus du lit de mes créateurs, ils ne sentent rien venir, trop sûr de leur supériorité sur moi.
"Elle n'oserait jamais ça" doivent-ils penser. Encore une fois, ils ont tout faux !
J'administre deux coups de couteau à mon père qui émet un long râle en guise de délivrence. C'est à ce moment précis que ma mère ouvre les yeux, elle me dévisage sans comprendre.
J'ai toujours le couteau ensanglanté dans la main et je la vois lentement baisser les deux vers ce qui fut son mari.
Elle se lève brusquement et tente de fuir, mais je bloque l'accès à la porte avant qu'elle ne puisse l'atteindre. Elle recule, se poste contre un mur le plus loin possible de moi.
Mais il est déjà trop tard, je fouille la table de nuit pour y trouver le pistolet de mon père.
Et là... ma mère reprend son caractère initial, elle doit être résolue, elle sait que j'irais jusqu'au bout !

- J'ai toujours vu le démon en toi ! Et voilà qu'aujourd'hui il frappe à la porte...

Je ne réponds rien, que voulez vous répondre à cela de toute façon ?

- Je te hais, si ton père m'avait écouté, cela ferait longtemps que tu serais enchaîné à la cave !

Je rétorque en restant impassible,

- J'ai eu de la chance qu'il ne t'écoute pas dans ce cas, je n'aurais pas pu mettre fin à mon calvaire.

- Tu as seulement 15 ans et voilà ce que tu es capable de ... *pang*

Elle s'est arrêtée, je vois du sang qui s'écoule de sa tête. Ironie du sort j'ai tiré sans faire exprès et la balle s'est logée entre ses deux yeux.
Je peux y lire encore toute la haine qu'elle pouvait éprouver.

- Qu'as'tu... fait ?

Une voix chevrautante, je me retourne vers mon père. Toujours pas mort lui ?
Je place le couteau dans la main de ma mère et me rapproche doucement de lui, il ne pourra pas s'enfuir de toute manière.
Je m'asseois sur le bord du lit et le regarde agoniser, cette saveur dans mon coeur, je ne veux pas en perdre une seule goutte.

- Tu as toujours était un battant, d'ailleurs tu frappais plutôt fort avec la ceinture ! Heureusement que j'ai appris à simuler la souffrance sinon Dieu seul sait quand tu te serais arrêté de taper !

Je dis Dieu mais pour moi il n'en existe aucun, quel Dieu à part l'homme ?




6 Mai 1984 // 00h24 San Francisco (en forêt)


Mes parents sont morts maintenant, mais il me reste encore une épine à éliminer !
J'ai tout arrangé à l'intérieur seulement mon histoire ne tiendra debout que lorsque j'en aurais terminé avec tout le monde.
Dans l'après midi, mon père a appelé mon frère pour qu'il repousse son voyage a New York d'un jour...
C'est une chance pour moi, de plus il doit y aller en voiture ce qui ne laisse pas de trace de billet d'avion ou autre !
J'ai marché environ 20 minutes mais ça en vallait la peine, mon frère ne dors pas encore. Je récupère en vitesse du fil de fer barbelé qui traine dans son jardin, j'ai bien fait de prendre des gants car grace à ça je ne me suis pas coupé.
Je m'introduis par la fenêtre de la cuisine, il est assis dans un fauteuil devant la télévision. Il est à moitié endormi alors j'en profite.
Je brandis le fil barbelé et l'enroule autour de son cou, puis je serre d'un seul coup et tire de toutes mes forces vers l'arrière. J'ai callé mon pied contre le dossier du fauteuil pour l'empêcher de bouger.
Il commence à gesticuler mais déjà le barbelé pénètre sa chaire, il se broie la traché en essayant de l'enlever puis au bout de deux longues minutes il s'effondre.
Ce qui est pratique c'est que cette technique n'a pas fait couler beaucoup de sang, aucune trace sur le canapé ce qui est bon signe ! Ca va me faire gagner du temps.
Je le tire sur le sol jusqu'à sa voiture, récupère ses bagages, ferme les fenêtres, la porte, coupe le courant et je démarre la voiture.
Oui, je sais conduire ! Enfreindre les règles de la maison peut s'avérer utile parfois.
Je laisse son corps à environ 50 km, lesté de pierre au fond d'un lac. Avec toute cette histoire je me suis fait mal au dos !
Quand à la voiture, je l'ai mis à la décharge après avoir enlevé les plaques et avec un peu de chance elle disparaîtra rapidement.




7 Mai 1984 // 15h14 San Francisco (commissariat)


- Je suis désolé Tania, t'es parents sont morts !

Evidemment qu'ils sont morts crétin, c'est moi qui les ai tué...

- Co... comment ça ?

- Pendant que tu faisais une fugue, il s'est passé quelque chose chez toi, nous n'en sommes pas encore sur.

Ouais j'ai saigné mon gros porc de père et j'ai refroidi ma salope de mère !

- Elle a finit par craquer...

- Qui ça ?

- Ma mère, à force d'être battu elle a dû en avoir marre.

Je fais semblant de pleurer

- Nous en sommes arrivé aux mêmes conclusions, ne t'en fais pas, tout va s'arranger !

Je fixe le policier, il semble sincère et plutôt gentil.

- Sais-tu où es ton frère ?

- Il est parti hier, faire le tour des Etats, il m'a dit qu'il allait partir au Mexique.

- Mais il n'y a pas un moyen de le joindre ?

- Hélas non, mon frère est un peu fou parfois.




Septembre 1998 Racoon City (lieu inconnu)


Pour une famille d'accueil on ne peut pas dire qu'ils aiment les enfants...
Certes j'ai 19 ans maintenant, mais ils me prennent toujours pour une petite conne !
Les meurtres s'enchainent dans cette ville et la débauche y est de plus en plus présente, alors quand mon père adoptif m'annonce que j'ai l'âge pour travailler, je pete un cable.
Vous ne comprenez pas ?
Pour mon père, travailler, c'est faire le trotoire...
Il est proxenete et est plutôt connu dans le milieu. Visiblement, je ne suis pas tomber sur la bonne famille.
Mais cette fois ci je prends les devant, je n'attend pas comme la dernière fois.
Il me reçoit dans son bureau pour m'annoncer sa décision et pendant qu'il regarde par la fenêtre je me procure le coupe papier posé sur une enveloppe.
Au moment où il se retourne, il est déjà mort. Le coupe papier est enfoncé dans sa tempe droite et disparait entièrement dans son crâne.
Et ma collection de cadavre continue.
Ma mère adoptive subit un sort semblable, enterrée vivante dans le fond du jardin.
Quelques filles travaillant pour eux ont également dû mourir, car voyez vous, elles aimaient trop ce qu'elles faisaient et m'auraient dénoncé sans aucun scrupule.
Elles étaient cinq à encombrer ma cave, poignardées pour la plus part, délicatement posées à côté du corps en décomposition de mon faux père.
Ce jour là j'ai eu de la chance car le lendemain...



Le lendemain (porte de la ville)


- Désolé mademoiselle, on ne laisse plus sortir personne, vous êtes en zone de contamination.

Je ne m'entendais même pas parler, tellement les gens criaient. Un virus s'était répandu dans la ville, infectant des gens par centaine.
Ces même personnes devenaient comme folle et dévoraient d'autres personnes qui finissaient par devenir comme elles.
Sur le coup, je ne comprends pas ce qu'il se passe, mais cela me plait bien. Cette ville de criminels en tout genre est en train de pourir au même titre que ses habitants.
Je lance un sourire au militaire qui ne comprend pas pourquoi j'ai une telle réaction.

- Ne m'obligez pas à vous tuer soldat !

Il pointe son arme sur moi et me regarde d'un air louche.

- Reculez sinon je tire.

Je vais pour répondre, mais un autre soldat tire dans la foule à ce moment précis.

- Il y a un infecté ici !

Le gens crient, certains tentent de passer par dessus le grillage qui bloque l'accès au pont.
Je ressents le besoin de me jeter à terre, ce que je fais sans plus attendre, évitant par la même occasion, des salves de tirs de la part de l'armée.
Les gens tombes les uns après les autres, moi aussi j'ai un flingue...
La plus part s'enfuient le plus loin possible du pont, seuls restent quelques infectés que les soldats déscendent les uns après les autres.
Je les aide un peu, le dos contre le grillage. Ils se rapprochent inévitablement de moi mais je ne bronche pas. Je vise la tête et tire... encore et encore.

- Laissez moi passer je vous en prie, regardez je n'ai pas été mordu !

L'un d'eux semble plus intelligent que les autres visiblement.

- Ok viens de l'autre côté si tu arrive à escalader le grillage. On a un médecin avec tout, il va t'examiner et si tu n'as aucune blessure on te laissera partir.

Je m'empresse de monter sur le grillage, ce n'est pas si difficile que ça, arrivé en haut je fais attention à ne pas me blesser sur les bouts de fer qui dépacent un peu partout.
Le médecin m'examine sous la tente, et trouve une petite coupure sur mon épaule.
Je pointe mon flingue entre ses jambes et lui demande d'appeler un militaire.
C'est risqué, mais calculé.

- Elle n'a rien, on peut la laisser partir !

- Très bien je transmet l'autorisation.

Le militaire part, je distingue une grande caisse dans le fond de la tente.
J'attrappe un scalpel qui traine et tranche la gorge du médecin en l'empéchant de crier. Il ne s'y attendait pas le bougre, mais je n'ai pas le choix. Hors de question de mourir ici après tout ce que j'ai traversé !
Je ne fais pas attention à ma force, le scalpel à tout coupé comme dans du beurre, je manque de le décapiter totalement.
Je le fais rouler jusqu'à la caisse et le hisse dedans.
Puis, sans rien dire, je passe par derrière et part en courant.
On me laisse passer, l'information a bien été transmise. Je dois me dépécher avant que le corps ne soit découvert.
Je trouve une voiture un peu plus loin, je n'ai aucun mal à la faire démarrer (les clés sont sur le tableau de bord).
Je fonce, sans me retourner.

Quelques minutes plus tard, Racoon City n'est plus.



1998 - 2003 => zone d'ombre.


2003 => Arrivée à Darkness Falls.

2005 => J'ai commencé à travailler pour Tasha Turner et le Tricell, mais le Tricelle m'a recruté il y a bien longtemps déjà...

Je n'en dirais pas plus sur mon passé et mon présent.
Je peux juste réveller que je suis une infiltré chez les flics, si vous saviez tout ce que cela me permet de faire !
Il faudra que je bosse avec les STARS un jour ou l'autre.


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& &


> Votre Ptit Nom à vous' ? : huhu
> Age ? : haha
> Niveau de RP : hoho
> Frequence de venue : hihi
> Des remarques... ? : héhé
> Comment etes vous arrivé ici.. ? : merde y a plus de voyelles...
> Comment avez vous connu le forum ? : c'est un DC

[organisme cybernétique]

Reuh... reuhh bienvenue

[larmes]

Muh, je trouve la description morale trop courte. Mais bon... Sinon dans l'ensemble tout me va. Attendons l'aval de Kim pour te valider

Rebienvenue mais tu le sais déja' ^.^

[.:: Tonton Kilik ::.]

Un joli double compte de psychopathe. Encore. Ca devient effrayant cette ville .. Pour ma part, je suis d'accord avec Luka. Au vu de ta bio, je pense que ta description morale pourrait être plus riche ^.^

En attendant, tu es bien entendu validé.

[confiance]

Ha ha! Tania!^^ Re-Bienvenue! =)
Et plus une personne de mon côté! C'est la joie joyeuse ça! :)

[trahison]

Ha ha! Tania!^^ Re-Bienvenue! =)
Et plus une personne de mon côté! C'est la joie joyeuse ça! :)